Depuis février 2012, à Toulouse, un protocole entre la Mairie, le Conseil Départemental, le Centre Hospitalier Gérard Marchant et le Centre Hospitalier Universitaire permet une prise en charge coordonnée du syndrome de Diogène.
Claire Nison, élue de la Mairie de Toulouse (et consultante communication)
et Emilie Neuhauser, salariée au Service communal d'Hygiène et de santé sont à mon micro pour répondre à mes questions.
Le syndrôme de Diogène peut amener une personne à acquérir des biens, mais à être incapable de s’en débarrasser, les objets amassés remplissent alors certaines maisons, du sol au plafond, causant de graves problèmes pour la personne, mais aussi pour la collectivité.
Cela peut constituer un risque d’incendie et d’insalubrité.